1870 : la France dans la guerre / Stéphane Audoin-Rouzeau

Public ISBD Titre : 1870 : la France dans la guerre Type de document : texte imprimé Auteurs : Stéphane Audoin-Rouzeau, Auteur ; Jean-Jacques Becker, Préfacier, etc. Editeur : Malakoff [France] : Armand Colin Année de publication : 1989 Importance : 420 p. Présentation : photogr. en noir et blanc, cartes ISBN/ISSN/EAN : 978-2-200-37165-4 Note générale : Notes Sources Bibliographie Chronologie Langues : Français (fre) Langues originales : Français (fre) Catégories : [OBSARM] Conflits:Ecrits sur la guerre - Ecrits stratégiques [OBSARM] France:Histoire politique:XIXème siècle (De 1800 à 1899) Tags : "France (1870)  Allemagne (1870)  Prusse (1870)  guerre de 1870  défaite française" Index. décimale : 944.07 IIème République et Second Empire, 1848-1970 Résumé : La guerre de 1870 est une guerre oubliée. La défaite française, le traité de Francfort et la perte de l'Alsace-Lorraine ont perdu leur place dans l'historiographie, la culture scolaire et le souvenir des Français. L'engouement pour la Commune de Paris a même, sans doute, joué un rôle important dans le rejet au second plan du conflit de 1870, souvent perçu, à tort, comme un simple prélude à l'insurrection communaliste. Pourtant, à bien des égards, la guerre de 1870 mérite une lecture nouvelle et attentive, une étude qui soit moins celle de la guerre elle-même, avec ses péripéties militaires, politiques ou diplomatiques, que celle des Français pendant le conflit : leur vie matérielle, leurs attitudes politiques, leur perception de l'événement, leur univers mental. Car "le temps court" de ces six mois de guerre est une véritable épreuve de vérité. Le sentiment national existe ; il est certes fragile, diffus, mais la guerre permet de mesurer sa progression. Un demi-siècle avant l'effroyable test de cohésion sociale et culturelle que représentera le premier conflit mondial, la guerre de 1870 montre que le socle de la Résistance française de 1914-1918 était, en partie, constitué. Le conflit et le souvenir auront contribué, de manière décisive, à forger le sentiment d'appartenance des Français à la patrie commune. En ce sens, la guerre constitua une étape importante dans un mouvement séculaire, celui de l'achèvement de la nation. Permalink : https://documentation.obsarm.info/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=5491 1870 : la France dans la guerre [texte imprimé] / Stéphane Audoin-Rouzeau, Auteur ; Jean-Jacques Becker, Préfacier, etc. . - Malakoff [France] : Armand Colin, 1989 . - 420 p. : photogr. en noir et blanc, cartes. ISBN : 978-2-200-37165-4 Notes Sources Bibliographie Chronologie Langues : Français (fre) Langues originales : Français (fre) Catégories : [OBSARM] Conflits:Ecrits sur la guerre - Ecrits stratégiques [OBSARM] France:Histoire politique:XIXème siècle (De 1800 à 1899) Tags : "France (1870)  Allemagne (1870)  Prusse (1870)  guerre de 1870  défaite française" Index. décimale : 944.07 IIème République et Second Empire, 1848-1970 Résumé : La guerre de 1870 est une guerre oubliée. La défaite française, le traité de Francfort et la perte de l'Alsace-Lorraine ont perdu leur place dans l'historiographie, la culture scolaire et le souvenir des Français. L'engouement pour la Commune de Paris a même, sans doute, joué un rôle important dans le rejet au second plan du conflit de 1870, souvent perçu, à tort, comme un simple prélude à l'insurrection communaliste. Pourtant, à bien des égards, la guerre de 1870 mérite une lecture nouvelle et attentive, une étude qui soit moins celle de la guerre elle-même, avec ses péripéties militaires, politiques ou diplomatiques, que celle des Français pendant le conflit : leur vie matérielle, leurs attitudes politiques, leur perception de l'événement, leur univers mental. Car "le temps court" de ces six mois de guerre est une véritable épreuve de vérité. Le sentiment national existe ; il est certes fragile, diffus, mais la guerre permet de mesurer sa progression. Un demi-siècle avant l'effroyable test de cohésion sociale et culturelle que représentera le premier conflit mondial, la guerre de 1870 montre que le socle de la Résistance française de 1914-1918 était, en partie, constitué. Le conflit et le souvenir auront contribué, de manière décisive, à forger le sentiment d'appartenance des Français à la patrie commune. En ce sens, la guerre constitua une étape importante dans un mouvement séculaire, celui de l'achèvement de la nation. Permalink : https://documentation.obsarm.info/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=5491

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Le carnet B / Jean-Jacques Becker

Public ISBD Titre : Le carnet B : les Pouvoirs Publics et l'Antimilitarisme avant la guerre de 1914 Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-Jacques Becker, Auteur ; Pierre Renouvin (1893-1974), Préfacier, etc. Editeur : Paris : Editions Klincksieck Année de publication : 1973 Importance : 223 p. Présentation : ill. Note générale : Principaux sigles et abréviations utilisés Sources bibliographiques Index des noms cités Langues : Français (fre) Langues originales : Français (fre) Catégories : [OBSARM] Désarmement - Mouvement de paix:Actions de résistance à l'armée [OBSARM] Désarmement - Mouvement de paix:Désobéissance civile [OBSARM] France:Histoire politique:De 1900 à 1914 Tags : "France (1900-1914)  pacifisme  antimilitarisme  le Sou du soldat  syndicalisme  CGT  socialisme  anarchisme  Carnet B" Index. décimale : 944 Histoire de France Résumé : À la veille d’une guerre, le gouvernement français du début du 20ème siècle avait prévu d’arrêter tous les antimilitaristes fichés au « Carnet B », car susceptibles d’entraver le déroulement de la mobi­lisation. En 1914, tout révolutionnaire actif a conscience qu’il est répertorié dans un fichier de police nommé « Carnet B », dont l’existence a été révélée par inadvertance en 1912, avant d’être officialisée par l’Assemblée nationale. Chaque préfet doit y inscrire les antimilitaristes de son département susceptibles de perturber la mobilisation en cas de guerre — soit, à 95 %, des anarchistes et des syndicalistes révolutionnaires. On apprendra, après-guerre, que le fameux fichier listait, en 1914, 1.771 suspects à arrêter immédiatement en cas de mobilisation. Mais, à l’époque des faits, on imagine qu’il y en a bien davantage — 15.000, d’après une estimation de L’Humanité en mars 1912. Or, le 1er août 1914, à 14h35, le ministre de l’Intérieur, Louis Malvy, fait télégraphier aux préfets de ne pas appliquer le Carnet B au syndicalistes et aux socialistes. Puis, vers 21 heures, un second télégramme en exempte également les anarchistes, à l’exception des plus dangereux. L'auteur, dans ce livre bien documenté, a retrouvé la plupart des textes relatifs à cette époque et a reconstitué, pour quelques départements, le contenu même du carnet. Permalink : https://documentation.obsarm.info/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=3355 Le carnet B : les Pouvoirs Publics et l'Antimilitarisme avant la guerre de 1914 [texte imprimé] / Jean-Jacques Becker, Auteur ; Pierre Renouvin (1893-1974), Préfacier, etc. . - Paris : Editions Klincksieck, 1973 . - 223 p. : ill. Principaux sigles et abréviations utilisés Sources bibliographiques Index des noms cités Langues : Français (fre) Langues originales : Français (fre) Catégories : [OBSARM] Désarmement - Mouvement de paix:Actions de résistance à l'armée [OBSARM] Désarmement - Mouvement de paix:Désobéissance civile [OBSARM] France:Histoire politique:De 1900 à 1914 Tags : "France (1900-1914)  pacifisme  antimilitarisme  le Sou du soldat  syndicalisme  CGT  socialisme  anarchisme  Carnet B" Index. décimale : 944 Histoire de France Résumé : À la veille d’une guerre, le gouvernement français du début du 20ème siècle avait prévu d’arrêter tous les antimilitaristes fichés au « Carnet B », car susceptibles d’entraver le déroulement de la mobi­lisation. En 1914, tout révolutionnaire actif a conscience qu’il est répertorié dans un fichier de police nommé « Carnet B », dont l’existence a été révélée par inadvertance en 1912, avant d’être officialisée par l’Assemblée nationale. Chaque préfet doit y inscrire les antimilitaristes de son département susceptibles de perturber la mobilisation en cas de guerre — soit, à 95 %, des anarchistes et des syndicalistes révolutionnaires. On apprendra, après-guerre, que le fameux fichier listait, en 1914, 1.771 suspects à arrêter immédiatement en cas de mobilisation. Mais, à l’époque des faits, on imagine qu’il y en a bien davantage — 15.000, d’après une estimation de L’Humanité en mars 1912. Or, le 1er août 1914, à 14h35, le ministre de l’Intérieur, Louis Malvy, fait télégraphier aux préfets de ne pas appliquer le Carnet B au syndicalistes et aux socialistes. Puis, vers 21 heures, un second télégramme en exempte également les anarchistes, à l’exception des plus dangereux. L'auteur, dans ce livre bien documenté, a retrouvé la plupart des textes relatifs à cette époque et a reconstitué, pour quelques départements, le contenu même du carnet. Permalink : https://documentation.obsarm.info/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=3355

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Un parlementarisme de guerre / Fabienne Bock

Public ISBD Titre : Un parlementarisme de guerre : 1914-1919 Type de document : texte imprimé Auteurs : Fabienne Bock, Auteur ; Jean-Jacques Becker, Préfacier, etc. Editeur : Paris : Editions Belin Année de publication : 2002 Collection : Histoire et société Sous-collection : Temps présents Importance : 351 p. ISBN/ISSN/EAN : 978-2-7011-3016-3 Note générale : Notes Index des noms de personnes Sources et bibliographie Langues : Français (fre) Langues originales : Français (fre) Catégories : [OBSARM] Conflits:Première guerre mondiale [OBSARM] France:Histoire politique:Première Guerre Mondiale (1914-1918) Tags : "Première Guerre mondiale (1914-1919)  France (1914-1919)  Parlement  parlementarisme de guerre  parlementaires aux armées  députés-soldats  commissions parlementaires  contrôle aux armées  vie parlementaire  dictature clémenciste (1917-1919)  respect des institutions" Index. décimale : 940.3 Guerre de 1914- 1918 Résumé : Malgré les doutes qu'inspirait à ses partisans eux-mêmes la capacité du régime à affronter une crise grave, la République a surmonté l'épreuve inouïe de la Grande Guerre sans modifier ses institutions. La prédominance du Parlement dans la répartition des pouvoirs, qui s'était instaurée depuis le début des années 1880, paraissait pourtant incompatible avec l'unité de décision et le secret que nécessitait l'état de guerre, tandis que la mobilisation d'une partie de ses membres risquait d'amputer gravement la représentation nationale. Or si le Parlement s'est ajourné en août 1914, laissant le champ libre au gouvernement d'Union Sacrée que dirigeait Viviani, il est convoqué dès le mois de décembre 1914. À compter de janvier 1915, il siège sans interruption jusqu'à la fin de la législature, en octobre 1919. A-t-il alors été réduit à un rôle de figurant, les décisions se prenant ailleurs, au sein du gouvernement ou du Grand Quartier général ? L'examen des archives parlementaires révèle que, loin de s'effacer, le Parlement a défendu ses prérogatives et participé à la conduite de la guerre. En utilisant principalement le cadre de ses commissions et la procédure des comités secrets, il a contrôlé et stimulé l'action des gouvernements, qui ne se maintiennent d'ailleurs au pouvoir que le temps qu'il leur accorde sa confiance. Permalink : https://documentation.obsarm.info/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=5334 Un parlementarisme de guerre : 1914-1919 [texte imprimé] / Fabienne Bock, Auteur ; Jean-Jacques Becker, Préfacier, etc. . - Paris : Editions Belin, 2002 . - 351 p.. - (Histoire et société. Temps présents) . ISBN : 978-2-7011-3016-3 Notes Index des noms de personnes Sources et bibliographie Langues : Français (fre) Langues originales : Français (fre) Catégories : [OBSARM] Conflits:Première guerre mondiale [OBSARM] France:Histoire politique:Première Guerre Mondiale (1914-1918) Tags : "Première Guerre mondiale (1914-1919)  France (1914-1919)  Parlement  parlementarisme de guerre  parlementaires aux armées  députés-soldats  commissions parlementaires  contrôle aux armées  vie parlementaire  dictature clémenciste (1917-1919)  respect des institutions" Index. décimale : 940.3 Guerre de 1914- 1918 Résumé : Malgré les doutes qu'inspirait à ses partisans eux-mêmes la capacité du régime à affronter une crise grave, la République a surmonté l'épreuve inouïe de la Grande Guerre sans modifier ses institutions. La prédominance du Parlement dans la répartition des pouvoirs, qui s'était instaurée depuis le début des années 1880, paraissait pourtant incompatible avec l'unité de décision et le secret que nécessitait l'état de guerre, tandis que la mobilisation d'une partie de ses membres risquait d'amputer gravement la représentation nationale. Or si le Parlement s'est ajourné en août 1914, laissant le champ libre au gouvernement d'Union Sacrée que dirigeait Viviani, il est convoqué dès le mois de décembre 1914. À compter de janvier 1915, il siège sans interruption jusqu'à la fin de la législature, en octobre 1919. A-t-il alors été réduit à un rôle de figurant, les décisions se prenant ailleurs, au sein du gouvernement ou du Grand Quartier général ? L'examen des archives parlementaires révèle que, loin de s'effacer, le Parlement a défendu ses prérogatives et participé à la conduite de la guerre. En utilisant principalement le cadre de ses commissions et la procédure des comités secrets, il a contrôlé et stimulé l'action des gouvernements, qui ne se maintiennent d'ailleurs au pouvoir que le temps qu'il leur accorde sa confiance. Permalink : https://documentation.obsarm.info/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=5334

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Les Sociétés européennes et la guerre de 1914-1918 / Jean-Jacques Becker

Public ISBD Titre : Les Sociétés européennes et la guerre de 1914-1918 : Actes du colloque organisé à Nanterre et à Amiens du 8 au 11 décembre 1988 Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-Jacques Becker, Auteur ; Stéphane Audoin-Rouzeau, Auteur ; Jean-Baptiste Duroselle (1917-1994), Préfacier, etc. Editeur : Paris : Publications de l'Université de Nanterre Année de publication : 1990 Collection : Centre d'Histoire de la France contemporaine Importance : 495 p. Présentation : graphisme, tableaux ISBN/ISSN/EAN : 978-2-9504255-0-8 Note générale : Actes du colloque organisé à Nanterre et à Amiens du 8 au 11 décembre 1988 Langues : Français (fre) Langues originales : Français (fre) Catégories : [OBSARM] Conflits:Première guerre mondiale Tags : "première guerre mondiale (1914-1918)  Europe (1914-1918)  Royaume-Uni (1914-1918)  Allemagne (1914-1918)  Russie (1914-1918)  Belgique (1914-1918)  Italie (1914-1918)  Espagne (1914-1918)  population  soldats  comportement  psychologie des combattants  information  propagande  paysannerie française" Index. décimale : 940.3 Guerre de 1914- 1918 Résumé : «Les sociétés européennes et la guerre de 1914-1918» sont les Actes d'un colloque tenu à l'Université de Paris-X Nanterre et à Amiens du 8 au I1 décembre 1988. Le 70e anniversaire de la fin de la guerre avait semblé lé bon moment pour engager une réflexion internationale sur les sociétés européennes face à la Grande Guerre. 33 des communications faites à ce colloque ont pu être reproduites dans ce volume et permettent de comparer l'attitude des populations des divers belligérants lors de l'entrée en guerre, l'évolution du comportement des soldats et des civils dans les villes et dans les campagnes, dans les régions occupées, l'encadrement des populations. En d'autres termes le colloque a cherché à approfondir la nature des sentiments nationaux, démarche que l'historiographie actuelle privilégie pour comprendre et expliquer la capacité de sacrifices des pays engagés dans le conflit. Cet ouvrage est un des premiers à s'installer délibérément dans une optique comparative, pour, sans négliger les spécificités nationales, analyser ce que fut la Grande Guerre. Permalink : https://documentation.obsarm.info/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=2795 Les Sociétés européennes et la guerre de 1914-1918 : Actes du colloque organisé à Nanterre et à Amiens du 8 au 11 décembre 1988 [texte imprimé] / Jean-Jacques Becker, Auteur ; Stéphane Audoin-Rouzeau, Auteur ; Jean-Baptiste Duroselle (1917-1994), Préfacier, etc. . - Paris : Publications de l'Université de Nanterre, 1990 . - 495 p. : graphisme, tableaux. - (Centre d'Histoire de la France contemporaine) . ISBN : 978-2-9504255-0-8 Actes du colloque organisé à Nanterre et à Amiens du 8 au 11 décembre 1988 Langues : Français (fre) Langues originales : Français (fre) Catégories : [OBSARM] Conflits:Première guerre mondiale Tags : "première guerre mondiale (1914-1918)  Europe (1914-1918)  Royaume-Uni (1914-1918)  Allemagne (1914-1918)  Russie (1914-1918)  Belgique (1914-1918)  Italie (1914-1918)  Espagne (1914-1918)  population  soldats  comportement  psychologie des combattants  information  propagande  paysannerie française" Index. décimale : 940.3 Guerre de 1914- 1918 Résumé : «Les sociétés européennes et la guerre de 1914-1918» sont les Actes d'un colloque tenu à l'Université de Paris-X Nanterre et à Amiens du 8 au I1 décembre 1988. Le 70e anniversaire de la fin de la guerre avait semblé lé bon moment pour engager une réflexion internationale sur les sociétés européennes face à la Grande Guerre. 33 des communications faites à ce colloque ont pu être reproduites dans ce volume et permettent de comparer l'attitude des populations des divers belligérants lors de l'entrée en guerre, l'évolution du comportement des soldats et des civils dans les villes et dans les campagnes, dans les régions occupées, l'encadrement des populations. En d'autres termes le colloque a cherché à approfondir la nature des sentiments nationaux, démarche que l'historiographie actuelle privilégie pour comprendre et expliquer la capacité de sacrifices des pays engagés dans le conflit. Cet ouvrage est un des premiers à s'installer délibérément dans une optique comparative, pour, sans négliger les spécificités nationales, analyser ce que fut la Grande Guerre. Permalink : https://documentation.obsarm.info/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=2795

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