Construire la paix, 2. Les armements détruira l'humanité / Jean-Marc Lavieille

Public ISBD Titre de série : Construire la paix, 2 Titre : Les armements détruira l'humanité Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-Marc Lavieille (1946-), Auteur Editeur : Lyon [France] : Chronique Sociale Année de publication : 1988 Collection : Synthèse, ISSN 0183-682X Importance : 236 p. ISBN/ISSN/EAN : 978-2-85008-088-3 Note générale : Liste d'adresses - Bibliographie classées par thèmes et un index alphabétique. Langues : Français (fre) Langues originales : Français (fre) Catégories : [OBSARM] Armes:Généralités [OBSARM] Dépenses Militaires [OBSARM] Désarmement - Mouvement de paix [OBSARM] Désarmement - Mouvement de paix:Actions de résistance à l'armée Tags : "guerre froide  éducation à la paix  désarmement  mouvements pacifistes  droit international  traité de désarmement  reconversion  défense alternative" Index. décimale : 355.82 Armes Résumé : "Si nous voulons la paix, préparons la paix", non pas "celle des tombeaux mais celle des vivants" Face aux logiques infernales de la course aux armements étudiées dans le tome 1, ce tome 2 met à jour des contre-mécanismes porteurs de paix. Cet ouvrage recense et analyse des réalités et des possibilités essentielles au niveau psychologique, idéologique, institutionnel, juridique, politique, militaire, mais aussi économique, financier, technologique et scientifique d'une véritable contre-course aux armements. Les actes de paix sont étudiés sous un angle opérationnel, c'est-à-dire à partir d'acteurs locaux, nationaux, continentaux, internationaux, publics ou privés. L'auteur dénonce les pseudo-remèdes et insiste sur la nécessité que les moyens utilisés soient conformes aux fins humaines que l'on propose. Permalink : https://documentation.obsarm.info/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=2498 Construire la paix, 2. Les armements détruira l'humanité [texte imprimé] / Jean-Marc Lavieille (1946-), Auteur . - Lyon [France] : Chronique Sociale, 1988 . - 236 p.. - (Synthèse, ISSN 0183-682X) . ISBN : 978-2-85008-088-3 Liste d'adresses - Bibliographie classées par thèmes et un index alphabétique. Langues : Français (fre) Langues originales : Français (fre) Catégories : [OBSARM] Armes:Généralités [OBSARM] Dépenses Militaires [OBSARM] Désarmement - Mouvement de paix [OBSARM] Désarmement - Mouvement de paix:Actions de résistance à l'armée Tags : "guerre froide  éducation à la paix  désarmement  mouvements pacifistes  droit international  traité de désarmement  reconversion  défense alternative" Index. décimale : 355.82 Armes Résumé : "Si nous voulons la paix, préparons la paix", non pas "celle des tombeaux mais celle des vivants" Face aux logiques infernales de la course aux armements étudiées dans le tome 1, ce tome 2 met à jour des contre-mécanismes porteurs de paix. Cet ouvrage recense et analyse des réalités et des possibilités essentielles au niveau psychologique, idéologique, institutionnel, juridique, politique, militaire, mais aussi économique, financier, technologique et scientifique d'une véritable contre-course aux armements. Les actes de paix sont étudiés sous un angle opérationnel, c'est-à-dire à partir d'acteurs locaux, nationaux, continentaux, internationaux, publics ou privés. L'auteur dénonce les pseudo-remèdes et insiste sur la nécessité que les moyens utilisés soient conformes aux fins humaines que l'on propose. Permalink : https://documentation.obsarm.info/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=2498

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Contingent rebelle / Patrick Schindler

Public ISBD Titre : Contingent rebelle : récit d'un réfractaire au service militaire dans les années 1970 Type de document : texte imprimé Auteurs : Patrick Schindler, Auteur Editeur : Montreuil [France] : Editions l'Echappée Année de publication : 2017 Collection : Dans le feu de l'action Importance : 189 p. Présentation : photogr. en noir et blanc ISBN/ISSN/EAN : 978-2-37309-021-5 Note générale : Notes Langues : Français (fre) Langues originales : Français (fre) Catégories : [OBSARM] Désarmement - Mouvement de paix:Actions de résistance à l'armée [OBSARM] France:Défense - Armées Tags : "service national  service militaire  France (1974-1975)  procès de Draguignan (1975)  Appel des Cent (1974)  défense nationale  conscription  soldats  armée  vie quotidienne  droit du soldat  justice militaire  discipline militaire  punition  devoir d'obéissance  Jacques Schindler  témoignage" Index. décimale : 355.021 3 Pacifisme et antimilitarisme. Mouvements pacifistes Résumé : «À bas l’armée et toute autorité !» Le service militaire a une longue histoire. Depuis la Révolution française, il a été l’objet de bien des polémiques. Des bataillons de conscrits soumis s’y sont rendus en traînant des pieds. Les sketches qui lui ont été consacrés ne faisaient rire que ceux qui avaient eu la malchance de le connaître. Les jeunes générations ont souvent du mal à imaginer que ça a pu exister – jusqu’au début des années 2000 ! –, et ce qu’on y faisait vraiment. Perte de temps, apprentissage de l’autorité, de la violence et de la magouille. Seul point positif : savoir faire son lit «au carré». Dans la foulée de Mai 68, un petit groupe de militants décide qu’il est temps de changer les choses. En 1974, il diffuse l’Appel des Cent qui remet en cause l’immuable institution. Il exige l’instauration de syndicats de soldats et de la liberté de la presse à l’armée. C’est une traînée de poudre. En quelques mois, l’appel recueille plus de 6 000 signataires. Manifestations en uniforme sur tout le territoire, grèves de la faim, résistances quotidiennes... Face à la révolte généralisée, le gouvernement prend enfin conscience du refus de la jeunesse de se laisser embrigader. Ce livre raconte cette histoire, quasiment oubliée aujourd’hui, et nous plonge au cœur de ce qu’était le service militaire à travers l’aventure singulière et haute en couleur d’un des signataires qui y a fait les 400 coups avec la ferme intention de «mettre les casernes à feu et à sang» ! Permalink : https://documentation.obsarm.info/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=4439 Contingent rebelle : récit d'un réfractaire au service militaire dans les années 1970 [texte imprimé] / Patrick Schindler, Auteur . - Montreuil [France] : Editions l'Echappée, 2017 . - 189 p. : photogr. en noir et blanc. - (Dans le feu de l'action) . ISBN : 978-2-37309-021-5 Notes Langues : Français (fre) Langues originales : Français (fre) Catégories : [OBSARM] Désarmement - Mouvement de paix:Actions de résistance à l'armée [OBSARM] France:Défense - Armées Tags : "service national  service militaire  France (1974-1975)  procès de Draguignan (1975)  Appel des Cent (1974)  défense nationale  conscription  soldats  armée  vie quotidienne  droit du soldat  justice militaire  discipline militaire  punition  devoir d'obéissance  Jacques Schindler  témoignage" Index. décimale : 355.021 3 Pacifisme et antimilitarisme. Mouvements pacifistes Résumé : «À bas l’armée et toute autorité !» Le service militaire a une longue histoire. Depuis la Révolution française, il a été l’objet de bien des polémiques. Des bataillons de conscrits soumis s’y sont rendus en traînant des pieds. Les sketches qui lui ont été consacrés ne faisaient rire que ceux qui avaient eu la malchance de le connaître. Les jeunes générations ont souvent du mal à imaginer que ça a pu exister – jusqu’au début des années 2000 ! –, et ce qu’on y faisait vraiment. Perte de temps, apprentissage de l’autorité, de la violence et de la magouille. Seul point positif : savoir faire son lit «au carré». Dans la foulée de Mai 68, un petit groupe de militants décide qu’il est temps de changer les choses. En 1974, il diffuse l’Appel des Cent qui remet en cause l’immuable institution. Il exige l’instauration de syndicats de soldats et de la liberté de la presse à l’armée. C’est une traînée de poudre. En quelques mois, l’appel recueille plus de 6 000 signataires. Manifestations en uniforme sur tout le territoire, grèves de la faim, résistances quotidiennes... Face à la révolte généralisée, le gouvernement prend enfin conscience du refus de la jeunesse de se laisser embrigader. Ce livre raconte cette histoire, quasiment oubliée aujourd’hui, et nous plonge au cœur de ce qu’était le service militaire à travers l’aventure singulière et haute en couleur d’un des signataires qui y a fait les 400 coups avec la ferme intention de «mettre les casernes à feu et à sang» ! Permalink : https://documentation.obsarm.info/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=4439

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Le cours d'une vie / Louis Lecoin

Public ISBD Titre : Le cours d'une vie Type de document : texte imprimé Auteurs : Louis Lecoin (1888-1971), Auteur Editeur : Paris : UPF - Union Pacifiste de France Année de publication : 1965 Importance : 347 p. Présentation : photogr. Langues : Français (fre) Langues originales : Français (fre) Catégories : [OBSARM] Désarmement - Mouvement de paix:Actions de résistance à l'armée [OBSARM] Désarmement - Mouvement de paix:Biographie - Personnalités [OBSARM] Désarmement - Mouvement de paix:Objection de conscience [OBSARM] Divers:Anarchisme [OBSARM] Pacifisme, Mouvements de paix Tags : "anarchisme  pacifisme  antimilitarisme  Louis Lecoin (1888-1971)  autobiographie  insoumission  objection de conscience" Index. décimale : 355.021 3 Pacifisme et antimilitarisme. Mouvements pacifistes Résumé : Louis Lecoin, né en 1888 à Saint-Amand-Montrond, au centre de la France, et décédé à Paris en 1971, a été une des plus grandes figures de l’anarchisme et du pacifisme au XXe siècle. En 1910, en pleine grève des cheminots, alors au service militaire, il refuse de suivre son régiment envoyé pour réprimer les grèvistes. "Etant syndicaliste, admirant le mouvement des cheminots et approuvant leurs actes, je ne veux pas que l’on se serve de moi comme moyen de répresion." Ainsi s’exprime-il devant le tribunal militaire avant de connaître sa première condamnation à la prison. Il revendique déjà le droit au refus de tuer. Il retourne entre quatre murs en 1912 pour une affiche antimilitariste. Libéré en 1916, insoumis à l’appel de la guerre, il replonge pour un tract "imposons le paix". Relâché, il est arrêté pour une seconde insoumission, et libéré en 1920. Son tract "Paix immédiate" lui fera encore connaître la prison de 1939 à 1941. Il totalisera dans sa vie douze années de prison pour avoir accordé ses actes avec ses idées, et sera le français qui aura totalisé, après Auguste Blanqui, le plus d’années en prison politique. Début 1958, il lance son journal “Liberté”, crée le premier Comité de soutien aux objecteurs, et propose en accord avec le Service Civil International , de désigner cette association comme alternative au service militaire. “Liberté” est aussitôt interdit en Algérie par Robert Lacoste. En mai 1959, un jeune appelé de 20 ans, habitant près de Nîmes tente de fuir pour échapper à la guerre d’Algérie. Il est abattu par un gendarme. Pour avoir traité ce meurtre d’ « odieux assassinat », Louis Lecoin est encore condamné . Le projet de Statut des objecteurs initié en 1958 est freiné par la guerre d’Algérie. Cette cause devient une affaire nationale quand Louis Lecoin, à 74 ans, le 1er juin 1962, commence une grève de la faim qui durera un mois. Il est soutenu par des personnes aussi diverses que Y. Montand, Lanza del Vasto, Robert Buron , le Président de la République italienne ou l’Abbé Pierre qui lui écrit :”...je suis sûr que Dieu existe et qu’il vous aime....” Il obtient la promesse d’un statut qui n’aboutira qu’en décembre 1963, après de nombreuses péripéties. En 1964, nominé pour le prix Nobel de la paix, il se désiste pour ne pas porter ombrage à Martin Luther King. Permalink : https://documentation.obsarm.info/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=3315 Le cours d'une vie [texte imprimé] / Louis Lecoin (1888-1971), Auteur . - Paris : UPF - Union Pacifiste de France, 1965 . - 347 p. : photogr. Langues : Français (fre) Langues originales : Français (fre) Catégories : [OBSARM] Désarmement - Mouvement de paix:Actions de résistance à l'armée [OBSARM] Désarmement - Mouvement de paix:Biographie - Personnalités [OBSARM] Désarmement - Mouvement de paix:Objection de conscience [OBSARM] Divers:Anarchisme [OBSARM] Pacifisme, Mouvements de paix Tags : "anarchisme  pacifisme  antimilitarisme  Louis Lecoin (1888-1971)  autobiographie  insoumission  objection de conscience" Index. décimale : 355.021 3 Pacifisme et antimilitarisme. Mouvements pacifistes Résumé : Louis Lecoin, né en 1888 à Saint-Amand-Montrond, au centre de la France, et décédé à Paris en 1971, a été une des plus grandes figures de l’anarchisme et du pacifisme au XXe siècle. En 1910, en pleine grève des cheminots, alors au service militaire, il refuse de suivre son régiment envoyé pour réprimer les grèvistes. "Etant syndicaliste, admirant le mouvement des cheminots et approuvant leurs actes, je ne veux pas que l’on se serve de moi comme moyen de répresion." Ainsi s’exprime-il devant le tribunal militaire avant de connaître sa première condamnation à la prison. Il revendique déjà le droit au refus de tuer. Il retourne entre quatre murs en 1912 pour une affiche antimilitariste. Libéré en 1916, insoumis à l’appel de la guerre, il replonge pour un tract "imposons le paix". Relâché, il est arrêté pour une seconde insoumission, et libéré en 1920. Son tract "Paix immédiate" lui fera encore connaître la prison de 1939 à 1941. Il totalisera dans sa vie douze années de prison pour avoir accordé ses actes avec ses idées, et sera le français qui aura totalisé, après Auguste Blanqui, le plus d’années en prison politique. Début 1958, il lance son journal “Liberté”, crée le premier Comité de soutien aux objecteurs, et propose en accord avec le Service Civil International , de désigner cette association comme alternative au service militaire. “Liberté” est aussitôt interdit en Algérie par Robert Lacoste. En mai 1959, un jeune appelé de 20 ans, habitant près de Nîmes tente de fuir pour échapper à la guerre d’Algérie. Il est abattu par un gendarme. Pour avoir traité ce meurtre d’ « odieux assassinat », Louis Lecoin est encore condamné . Le projet de Statut des objecteurs initié en 1958 est freiné par la guerre d’Algérie. Cette cause devient une affaire nationale quand Louis Lecoin, à 74 ans, le 1er juin 1962, commence une grève de la faim qui durera un mois. Il est soutenu par des personnes aussi diverses que Y. Montand, Lanza del Vasto, Robert Buron , le Président de la République italienne ou l’Abbé Pierre qui lui écrit :”...je suis sûr que Dieu existe et qu’il vous aime....” Il obtient la promesse d’un statut qui n’aboutira qu’en décembre 1963, après de nombreuses péripéties. En 1964, nominé pour le prix Nobel de la paix, il se désiste pour ne pas porter ombrage à Martin Luther King. Permalink : https://documentation.obsarm.info/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=3315

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Le cours d'une vie / Louis Lecoin

Public ISBD Titre : Le cours d'une vie Type de document : texte imprimé Auteurs : Louis Lecoin (1888-1971), Auteur Editeur : Paris : UPF - Union Pacifiste de France Année de publication : 1965 Importance : 347 p. Présentation : photogr. Langues : Français (fre) Langues originales : Français (fre) Catégories : [OBSARM] Désarmement - Mouvement de paix:Actions de résistance à l'armée [OBSARM] Désarmement - Mouvement de paix:Biographie - Personnalités [OBSARM] Désarmement - Mouvement de paix:Objection de conscience [OBSARM] Divers:Anarchisme [OBSARM] Fonds Bernard Vandewièle [OBSARM] Pacifisme, Mouvements de paix Tags : "anarchisme  pacifisme  antimilitarisme  Louis Lecoin (1888-1971)  autobiographie  insoumission  objection de conscience" Index. décimale : 355.021 3 Pacifisme et antimilitarisme. Mouvements pacifistes Résumé : Louis Lecoin, né en 1888 à Saint-Amand-Montrond, au centre de la France, et décédé à Paris en 1971, a été une des plus grandes figures de l’anarchisme et du pacifisme au XXe siècle. En 1910, en pleine grève des cheminots, alors au service militaire, il refuse de suivre son régiment envoyé pour réprimer les grèvistes. "Etant syndicaliste, admirant le mouvement des cheminots et approuvant leurs actes, je ne veux pas que l’on se serve de moi comme moyen de répresion." Ainsi s’exprime-il devant le tribunal militaire avant de connaître sa première condamnation à la prison. Il revendique déjà le droit au refus de tuer. Il retourne entre quatre murs en 1912 pour une affiche antimilitariste. Libéré en 1916, insoumis à l’appel de la guerre, il replonge pour un tract "imposons le paix". Relâché, il est arrêté pour une seconde insoumission, et libéré en 1920. Son tract "Paix immédiate" lui fera encore connaître la prison de 1939 à 1941. Il totalisera dans sa vie douze années de prison pour avoir accordé ses actes avec ses idées, et sera le français qui aura totalisé, après Auguste Blanqui, le plus d’années en prison politique. Début 1958, il lance son journal “Liberté”, crée le premier Comité de soutien aux objecteurs, et propose en accord avec le Service Civil International , de désigner cette association comme alternative au service militaire. “Liberté” est aussitôt interdit en Algérie par Robert Lacoste. En mai 1959, un jeune appelé de 20 ans, habitant près de Nîmes tente de fuir pour échapper à la guerre d’Algérie. Il est abattu par un gendarme. Pour avoir traité ce meurtre d’ « odieux assassinat », Louis Lecoin est encore condamné . Le projet de Statut des objecteurs initié en 1958 est freiné par la guerre d’Algérie. Cette cause devient une affaire nationale quand Louis Lecoin, à 74 ans, le 1er juin 1962, commence une grève de la faim qui durera un mois. Il est soutenu par des personnes aussi diverses que Y. Montand, Lanza del Vasto, Robert Buron , le Président de la République italienne ou l’Abbé Pierre qui lui écrit :”...je suis sûr que Dieu existe et qu’il vous aime....” Il obtient la promesse d’un statut qui n’aboutira qu’en décembre 1963, après de nombreuses péripéties. En 1964, nominé pour le prix Nobel de la paix, il se désiste pour ne pas porter ombrage à Martin Luther King. Permalink : https://documentation.obsarm.info/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=6413 Le cours d'une vie [texte imprimé] / Louis Lecoin (1888-1971), Auteur . - Paris : UPF - Union Pacifiste de France, 1965 . - 347 p. : photogr. Langues : Français (fre) Langues originales : Français (fre) Catégories : [OBSARM] Désarmement - Mouvement de paix:Actions de résistance à l'armée [OBSARM] Désarmement - Mouvement de paix:Biographie - Personnalités [OBSARM] Désarmement - Mouvement de paix:Objection de conscience [OBSARM] Divers:Anarchisme [OBSARM] Fonds Bernard Vandewièle [OBSARM] Pacifisme, Mouvements de paix Tags : "anarchisme  pacifisme  antimilitarisme  Louis Lecoin (1888-1971)  autobiographie  insoumission  objection de conscience" Index. décimale : 355.021 3 Pacifisme et antimilitarisme. Mouvements pacifistes Résumé : Louis Lecoin, né en 1888 à Saint-Amand-Montrond, au centre de la France, et décédé à Paris en 1971, a été une des plus grandes figures de l’anarchisme et du pacifisme au XXe siècle. En 1910, en pleine grève des cheminots, alors au service militaire, il refuse de suivre son régiment envoyé pour réprimer les grèvistes. "Etant syndicaliste, admirant le mouvement des cheminots et approuvant leurs actes, je ne veux pas que l’on se serve de moi comme moyen de répresion." Ainsi s’exprime-il devant le tribunal militaire avant de connaître sa première condamnation à la prison. Il revendique déjà le droit au refus de tuer. Il retourne entre quatre murs en 1912 pour une affiche antimilitariste. Libéré en 1916, insoumis à l’appel de la guerre, il replonge pour un tract "imposons le paix". Relâché, il est arrêté pour une seconde insoumission, et libéré en 1920. Son tract "Paix immédiate" lui fera encore connaître la prison de 1939 à 1941. Il totalisera dans sa vie douze années de prison pour avoir accordé ses actes avec ses idées, et sera le français qui aura totalisé, après Auguste Blanqui, le plus d’années en prison politique. Début 1958, il lance son journal “Liberté”, crée le premier Comité de soutien aux objecteurs, et propose en accord avec le Service Civil International , de désigner cette association comme alternative au service militaire. “Liberté” est aussitôt interdit en Algérie par Robert Lacoste. En mai 1959, un jeune appelé de 20 ans, habitant près de Nîmes tente de fuir pour échapper à la guerre d’Algérie. Il est abattu par un gendarme. Pour avoir traité ce meurtre d’ « odieux assassinat », Louis Lecoin est encore condamné . Le projet de Statut des objecteurs initié en 1958 est freiné par la guerre d’Algérie. Cette cause devient une affaire nationale quand Louis Lecoin, à 74 ans, le 1er juin 1962, commence une grève de la faim qui durera un mois. Il est soutenu par des personnes aussi diverses que Y. Montand, Lanza del Vasto, Robert Buron , le Président de la République italienne ou l’Abbé Pierre qui lui écrit :”...je suis sûr que Dieu existe et qu’il vous aime....” Il obtient la promesse d’un statut qui n’aboutira qu’en décembre 1963, après de nombreuses péripéties. En 1964, nominé pour le prix Nobel de la paix, il se désiste pour ne pas porter ombrage à Martin Luther King. Permalink : https://documentation.obsarm.info/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=6413

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Le cours d'une vie : Louis Lecoin (1888-1971) / Jean Desvilles

Public ISBD Titre : Le cours d'une vie : Louis Lecoin (1888-1971) : l'homme qui fit plier le général de Gaulle Type de document : document projeté ou vidéo Auteurs : Jean Desvilles, Metteur en scène, réalisateur ; André Darribehaude, Metteur en scène, réalisateur ; Yves Montand (1921-1991), Commentateur Editeur : Paris : UPF - Union Pacifiste de France Année de publication : 1966 Importance : 1 DVD, 64 mn, (PAL) Présentation : noir et blanc Langues : Français (fre) Langues originales : Français (fre) Catégories : [OBSARM] Désarmement - Mouvement de paix:Actions de résistance à l'armée [OBSARM] Désarmement - Mouvement de paix:Biographie - Personnalités [OBSARM] Désarmement - Mouvement de paix:Objection de conscience [OBSARM] Divers:Anarchisme [OBSARM] Pacifisme, Mouvements de paix Tags : "anarchisme  pacifisme  antimilitarisme  Louis Lecoin (1888-1971)  biographie  insoumission  objection de conscience  film" Index. décimale : 355.021 3 Pacifisme et antimilitarisme. Mouvements pacifistes Résumé : Louis Lecoin, né en 1888 à Saint-Amand-Montrond, au centre de la France, et décédé à Paris en 1971, a été une des plus grandes figures de l’anarchisme et du pacifisme au XXe siècle. En 1910, en pleine grève des cheminots, alors au service militaire, il refuse de suivre son régiment envoyé pour réprimer les grèvistes. "Etant syndicaliste, admirant le mouvement des cheminots et approuvant leurs actes, je ne veux pas que l’on se serve de moi comme moyen de répresion." Ainsi s’exprime-il devant le tribunal militaire avant de connaître sa première condamnation à la prison. Il revendique déjà le droit au refus de tuer. Il retourne entre quatre murs en 1912 pour une affiche antimilitariste. Libéré en 1916, insoumis à l’appel de la guerre, il replonge pour un tract "imposons le paix". Relâché, il est arrêté pour une seconde insoumission, et libéré en 1920. Son tract "Paix immédiate" lui fera encore connaître la prison de 1939 à 1941. Il totalisera dans sa vie douze années de prison pour avoir accordé ses actes avec ses idées, et sera le français qui aura totalisé, après Auguste Blanqui, le plus d’années en prison politique. Début 1958, il lance son journal “Liberté”, crée le premier Comité de soutien aux objecteurs, et propose en accord avec le Service Civil International , de désigner cette association comme alternative au service militaire. “Liberté” est aussitôt interdit en Algérie par Robert Lacoste. En mai 1959, un jeune appelé de 20 ans, habitant près de Nîmes tente de fuir pour échapper à la guerre d’Algérie. Il est abattu par un gendarme. Pour avoir traité ce meurtre d’ « odieux assassinat », Louis Lecoin est encore condamné . Le projet de Statut des objecteurs initié en 1958 est freiné par la guerre d’Algérie. Cette cause devient une affaire nationale quand Louis Lecoin, à 74 ans, le 1er juin 1962, commence une grève de la faim qui durera un mois. Il est soutenu par des personnes aussi diverses que Y. Montand, Lanza del Vasto, Robert Buron , le Président de la République italienne ou l’Abbé Pierre qui lui écrit :”...je suis sûr que Dieu existe et qu’il vous aime....” Il obtient la promesse d’un statut qui n’aboutira qu’en décembre 1963, après de nombreuses péripéties. En 1964, nominé pour le prix Nobel de la paix, il se désiste pour ne pas porter ombrage à Martin Luther King. Dans ce film, où nous découvrons les terrains de jeu et de souffrance de son enfance, Louis Lecoin retrace les moments importants de sa vie. Permalink : https://documentation.obsarm.info/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=4595 Le cours d'une vie : Louis Lecoin (1888-1971) : l'homme qui fit plier le général de Gaulle [document projeté ou vidéo] / Jean Desvilles, Metteur en scène, réalisateur ; André Darribehaude, Metteur en scène, réalisateur ; Yves Montand (1921-1991), Commentateur . - Paris : UPF - Union Pacifiste de France, 1966 . - 1 DVD, 64 mn, (PAL) : noir et blanc. Langues : Français (fre) Langues originales : Français (fre) Catégories : [OBSARM] Désarmement - Mouvement de paix:Actions de résistance à l'armée [OBSARM] Désarmement - Mouvement de paix:Biographie - Personnalités [OBSARM] Désarmement - Mouvement de paix:Objection de conscience [OBSARM] Divers:Anarchisme [OBSARM] Pacifisme, Mouvements de paix Tags : "anarchisme  pacifisme  antimilitarisme  Louis Lecoin (1888-1971)  biographie  insoumission  objection de conscience  film" Index. décimale : 355.021 3 Pacifisme et antimilitarisme. Mouvements pacifistes Résumé : Louis Lecoin, né en 1888 à Saint-Amand-Montrond, au centre de la France, et décédé à Paris en 1971, a été une des plus grandes figures de l’anarchisme et du pacifisme au XXe siècle. En 1910, en pleine grève des cheminots, alors au service militaire, il refuse de suivre son régiment envoyé pour réprimer les grèvistes. "Etant syndicaliste, admirant le mouvement des cheminots et approuvant leurs actes, je ne veux pas que l’on se serve de moi comme moyen de répresion." Ainsi s’exprime-il devant le tribunal militaire avant de connaître sa première condamnation à la prison. Il revendique déjà le droit au refus de tuer. Il retourne entre quatre murs en 1912 pour une affiche antimilitariste. Libéré en 1916, insoumis à l’appel de la guerre, il replonge pour un tract "imposons le paix". Relâché, il est arrêté pour une seconde insoumission, et libéré en 1920. Son tract "Paix immédiate" lui fera encore connaître la prison de 1939 à 1941. Il totalisera dans sa vie douze années de prison pour avoir accordé ses actes avec ses idées, et sera le français qui aura totalisé, après Auguste Blanqui, le plus d’années en prison politique. Début 1958, il lance son journal “Liberté”, crée le premier Comité de soutien aux objecteurs, et propose en accord avec le Service Civil International , de désigner cette association comme alternative au service militaire. “Liberté” est aussitôt interdit en Algérie par Robert Lacoste. En mai 1959, un jeune appelé de 20 ans, habitant près de Nîmes tente de fuir pour échapper à la guerre d’Algérie. Il est abattu par un gendarme. Pour avoir traité ce meurtre d’ « odieux assassinat », Louis Lecoin est encore condamné . Le projet de Statut des objecteurs initié en 1958 est freiné par la guerre d’Algérie. Cette cause devient une affaire nationale quand Louis Lecoin, à 74 ans, le 1er juin 1962, commence une grève de la faim qui durera un mois. Il est soutenu par des personnes aussi diverses que Y. Montand, Lanza del Vasto, Robert Buron , le Président de la République italienne ou l’Abbé Pierre qui lui écrit :”...je suis sûr que Dieu existe et qu’il vous aime....” Il obtient la promesse d’un statut qui n’aboutira qu’en décembre 1963, après de nombreuses péripéties. En 1964, nominé pour le prix Nobel de la paix, il se désiste pour ne pas porter ombrage à Martin Luther King. Dans ce film, où nous découvrons les terrains de jeu et de souffrance de son enfance, Louis Lecoin retrace les moments importants de sa vie. Permalink : https://documentation.obsarm.info/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=4595

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Code-barres	Cote	Support	Localisation	Section	Disponibilité
DB3550213DES	DB-355.021 3 DES	DVD	Bibliothèque CDRPC	DESARMEMENT - MOUVEMENT DE PAIX	Exclu du prêt

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