Titre : |
Je ne regrette rien : la poignante histoire des légionnaires parachutistes du 1er R.E.P. |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Pierre Sergent (1926-1992), Auteur |
Editeur : |
Paris [France] : Hachette |
Année de publication : |
1972 |
Collection : |
Le livre de poche num. 3875 |
Importance : |
572 p. |
Présentation : |
photogr. en noir et blanc, cartes |
ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-253-00068-6 |
Note générale : |
Glossaire |
Langues : |
Français (fre) Langues originales : Français (fre) |
Catégories : |
[OBSARM] France:Défense - Armées [OBSARM] France:Dom-tom - Histoire coloniale [OBSARM] France:Histoire politique:De 1946 à 1999
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Tags : |
"France armée française Légion étrangère 1er Régiment étranger de parachutistes (1er R.E.P.)soldats aspects historiques Dien Bien Phu (1954) guerre d'Algérie (1954-1962) putsch du 22 avril 1961" |
Index. décimale : |
355.02 Guerres et activités militaires |
Résumé : |
Un document : la première histoire de la plus glorieuse unité de larmée française en Indochine et en Algérie. Un auteur : Pierre Sergent, lieutenant, puis capitaine, dans les rangs de ces bérets verts, qui a participé en personne aux événements quil décrit et qui en a connu tous les acteurs. Une tragédie : cette unité de légionnaires-parachutistes a été anéantie trois fois. Deux fois en Indochine : 500 bérets verts engagés dans la désastreuse affaire de Cao Bang, 470 morts et disparus ; et un millier à la pointe du combat à Dien Bien Phu, 600 tués, 400 blessés. Et ce troisième et dernier anéantissement en Algérie : après avoir gagné la guerre du djebel et celle dAlger, le 1er REP a été le fer de lance du putsch du 22 avril 1961. Huit jours après, le régiment était définitivement dissous. Des acteurs à linoubliable courage, les plus fins guerriers de la jeune armée française : Jeanpierre, Degueldre, Morin, Martin, Faulques, Cabiro, Tasnady, et cent autres, Français de naissance ou Français « par le sang versé »... Segretain, commandant du 1er BEP, et Jeanpierre, commandant du 1er REP, ont été tués au combat. En Indochine, tous les capitaines, la moitié des lieutenants, la presque totalité des sous-officiers et des légionnaires sont morts au champ dhonneur ou dans les camps viets. En Algérie, en terre maintenant étrangère, les cimetières de Zéralda et de Guelma sont remplis de tombes de légionnaires-parachutistes. En France, le carré des fusillés du cimetière de Thiais a reçu les dépouilles mortelles de deux bérets verts : le lieutenant Degueldre et le sergent Dovecar... Le combat a cessé. Presque tous les officiers du 1er REP ont quitté larmée. Quelques sous-officiers rêvent de leur passé dans les casernes métropolitaines. Les légionnaires survivants sont repartis dans leurs pays. Mais, dans le cur de tous, vit le drapeau à la fourragère jaune et verte et aux cinq palmes, qui dort au musée de la Légion. « Non, je ne regrette rien » chantaient les légionnaires-parachutistes en quittant pour la dernière fois, il y a aujourdhui dix ans, leur camp de Zéralda. Le célèbre refrain dEdith Piaf les entraînait dans lHistoire. Le capitaine Pierre Sergent vous entraîne à leur suite sur les chemins de la gloire et de la mort. Personne ne regrettera rien... |
Permalink : |
https://documentation.obsarm.info/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=5199 |
Je ne regrette rien : la poignante histoire des légionnaires parachutistes du 1er R.E.P. [texte imprimé] / Pierre Sergent (1926-1992), Auteur . - Paris [France] : Hachette, 1972 . - 572 p. : photogr. en noir et blanc, cartes. - ( Le livre de poche; 3875) . ISBN : 978-2-253-00068-6 Glossaire Langues : Français ( fre) Langues originales : Français ( fre)
Catégories : |
[OBSARM] France:Défense - Armées [OBSARM] France:Dom-tom - Histoire coloniale [OBSARM] France:Histoire politique:De 1946 à 1999
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Tags : |
"France armée française Légion étrangère 1er Régiment étranger de parachutistes (1er R.E.P.)soldats aspects historiques Dien Bien Phu (1954) guerre d'Algérie (1954-1962) putsch du 22 avril 1961" |
Index. décimale : |
355.02 Guerres et activités militaires |
Résumé : |
Un document : la première histoire de la plus glorieuse unité de larmée française en Indochine et en Algérie. Un auteur : Pierre Sergent, lieutenant, puis capitaine, dans les rangs de ces bérets verts, qui a participé en personne aux événements quil décrit et qui en a connu tous les acteurs. Une tragédie : cette unité de légionnaires-parachutistes a été anéantie trois fois. Deux fois en Indochine : 500 bérets verts engagés dans la désastreuse affaire de Cao Bang, 470 morts et disparus ; et un millier à la pointe du combat à Dien Bien Phu, 600 tués, 400 blessés. Et ce troisième et dernier anéantissement en Algérie : après avoir gagné la guerre du djebel et celle dAlger, le 1er REP a été le fer de lance du putsch du 22 avril 1961. Huit jours après, le régiment était définitivement dissous. Des acteurs à linoubliable courage, les plus fins guerriers de la jeune armée française : Jeanpierre, Degueldre, Morin, Martin, Faulques, Cabiro, Tasnady, et cent autres, Français de naissance ou Français « par le sang versé »... Segretain, commandant du 1er BEP, et Jeanpierre, commandant du 1er REP, ont été tués au combat. En Indochine, tous les capitaines, la moitié des lieutenants, la presque totalité des sous-officiers et des légionnaires sont morts au champ dhonneur ou dans les camps viets. En Algérie, en terre maintenant étrangère, les cimetières de Zéralda et de Guelma sont remplis de tombes de légionnaires-parachutistes. En France, le carré des fusillés du cimetière de Thiais a reçu les dépouilles mortelles de deux bérets verts : le lieutenant Degueldre et le sergent Dovecar... Le combat a cessé. Presque tous les officiers du 1er REP ont quitté larmée. Quelques sous-officiers rêvent de leur passé dans les casernes métropolitaines. Les légionnaires survivants sont repartis dans leurs pays. Mais, dans le cur de tous, vit le drapeau à la fourragère jaune et verte et aux cinq palmes, qui dort au musée de la Légion. « Non, je ne regrette rien » chantaient les légionnaires-parachutistes en quittant pour la dernière fois, il y a aujourdhui dix ans, leur camp de Zéralda. Le célèbre refrain dEdith Piaf les entraînait dans lHistoire. Le capitaine Pierre Sergent vous entraîne à leur suite sur les chemins de la gloire et de la mort. Personne ne regrettera rien... |
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